Soutenez la production d'un miel bio et boostez le Bec Sucré

Qui suis-je ?

 

Audrey, "jeune" apicultrice de 38 ans en reconversion professionelle pour m'installer en apiculture bio en Dordogne.

  

J'ai été "piquée" et maintenant je suis passionnée !!

Je les adore, les abeilles ! Elles sont fascinantes, essentielles, solidaires, appliquées, sensibles, leur cire et propolis sentent bon et leurs miels sont délicieux, et elles sont plus que jamais à protéger !

Mes trois enfants, Manon, Louis et Lily, mon conjoint, Olivier, et moi-même avons la chance de vivre sur une propriété familliale en Dordogne et j'ai l'immense bonheur et le sentiment de devoir préserver cet environnement.

J'ai entr'aperçu le métier d'apicultrice à travers un documentaire il y a 5 ans. J'ai eu comme une révélation, depuis je multiplie les lectures, les vidéos et maintenant la pratique.

 

Avec Lily dans une combinaison bien trop grande mais toujours au top pour m'accompagner au rucher.

C'est une superbe activité où nos 5 sens sont mis à contribution.

 

 

 

 

 

 

La ruche de Lily !

 

 

 

 

J'avais peut-être ça dans le sang, qui sait. Mon père m'a offert de vieilles diapositives de mon grand-père maternel sur lesquelles on le voit récupérer un essaim...

  

 

Le contexte du projet ...

 

Après six années passées au Québec et une année en Guyane, je profite de notre retour en Périgord Noir pour redonner du sens à mon activité professionnelle et au delà de ça de participer plus concrètement à la préservation de la biodiversité.

Quoi de plus naturel pour moi qui avait tant et si longtemps rêvé de pouvoir cotoyer le monde fascinant des abeilles que de m'initier à l'apiculture. J'ai donc participé à une première formation puis je me suis inscrite aux cours du Rucher école, l'Abeille Périgordine avant  de devenir la "bergère" de 4 colonies d'abeilles. 

"Piquée", passionnée par les abeilles et convaincue d'avoir un rôle positif à jouer dans ce nouvel environnement,  j'ai décidé de me lancer dans le parcours à l'installation.

J'ai donc troqué avec plaisir et conviction mon ancienne vie professionnelle de bureau contre une combinaison blanche et un enfumoir, et je suis retournée en formation en septembre dernier pour obtenir un BPREA (Brevet Professionnel de Responsable d'Entreprise Agricole).

Afin de préserver notre rythme familial j'ai décidé de suivre cette formation dans le CFPPA le plus proche même si elle n'a pas de spécialisation apicole mais plutôt une orientation en maraîchage. J'ai également pu apprendre quelques bases en soudure, conduire et atteler un tracteur, suivre, entre autres, des enseignements et des mises en pratique sur la taille des arbres fruitiers et la production d'essaims (volet très important pour moi), complétés par des stages auprès de professionnels avides de partager leurs savoirs et l'amour de leur métier.

Petite abeille "soudée" viendra, un beau jour, décorée la miellerie.

Et finalement, le fait de suivre le BPREA dans mon département d'installation me permet de connaître un grand nombre de mes interlocuteurs du monde agricole et futurs partenaires.

Fin juin de cette année, j'aurai mon BPREA et je pourrai continuer le parcours à l'installation engagé avec la Maison des Paysans, pour une installation effective cette fin d'année ou début 2021. Pour acquérir un peu plus d'expérience, jespére pouvoir accompagner un apiculteur après ma formation, pour le reste de la saison.

Où j'en suis avec mes ruches...

 

J'ai commencé en mai 2019 avec 4 ruches, j'en ai malheureusement perdues 2 l'hiver dernier. Cette année 2020, j'ai décidé de faire des divisions de mes ruches pour au moins revenir à mon point de départ (4 colonies) et apprendre une nouvelle technique. C'est chose faite et j'en suis très contente. Peut-être que je pourrai encore diviser avant la fin de la saison... Seulement voilà, lorsqu'on divise une ruche on n'est plus tout à fait en mesure d'extraire du miel, la production est moindre.

  

Abeilles dans la ruche.........et sur planche d'envol.

Au printemps 2021, pour mon installation, j'ai planifié d'avoir 50 colonies (premier palier pour la MSA), cela représente un investissement conséquent de plusieurs milliers d'euros en achat d'essaims et de ruches (environ 13 500€ pour 45 colonies)

Je fais donc appel à vous, via cette campagne de financement participatif, pour m'aider à augmenter mon cheptel cette année ce qui me permettra d'alléger mon investissement de départ, faire de nouvelles divisions dès le printemps prochain et avoir une production et donc dégager un premier revenu.

En plus des 10 essaims + ruches, je souhaite investir dans du matériel d'extraction pour équiper la miellerie.

Un vrai coup de boost pour mon installation !

Je vous parle un peu plus de mon projet global...

 

Petites précisions, mon projet global d'installation en AB (Agriculture Biologique) comporte,

• la production de miels par mes adorées,
• un verger diversifié de figuiers, poiriers, pommiers et pruniers (variétés choisies en fonction de leur période de récolte après la saison apicole) et dans lequel seront installées :
• des poules pondeuses.
• un verger de noisetiers (période de récolte après la saison apicole)
• un espace pour des PPAM (Plantes à Parfum Aromatiques et Médicinales)
• et la réfection d'une vieille truffière.

   

Une truffe noire pour la préparation miel et truffe noire du Périgord Noir. La truffiére à renouveller et la vielle vigne

Ces 6 ateliers, de taille modérée, ont pour vocation de participer à la préservation de la biodiversité, des espèces et variétés locales, d'offrir à la vente des produits frais, de saison et locaux et d'un point de vue économique pour moi, de ne pas mettre tous mes œufs dans le même panier et palier aux difficultés que rencontrent actuellement l'apiculture. 

J'ai choisi de privilégier les circuits courts et faire uniquement de la vente directe, sur les marchés du Sarladais, via des boutiques locales, à moyen terme via également un site internet et à plus ou moins loin terme dans ma propre boutique qui sera accolée à la miellerie.

 

  

Vues sur les prés où seront installés les deux vergers et le poulailler.

De plus, faire valoir la conduite d'autres ateliers me permet de baisser le nombre de ruche exigé sur l'exploitation (en Dordogne c'est 200 ruches pour un(e) chef(fe) d'exploitation), ce qui me permettra de mener une installation progressive sur 4 à 5 ans.

Ce projet a déjà un nom et même un logo, Le Bec Sucré !

Et pourquoi Le Bec Sucré ? ...

 

L'envie de découvrir au plus près le monde fascinant des abeilles m'est venue au cours de mes six années de vie au Québec. La réputation de ses habitants basée sur leur gentillesse est devenue pour moi une réalité et c'est en détournant l'une de leurs expressions que je leur rend hommage. Se sucrer le bec signifie manger des sucreries, des bonbons ou n'importe quel mets sucré. C'est plutôt bien approprié aux délicieux miels de mes chères abeilles et des autres produits de ma fabrication ?! 

Rien de plus naturel alors pour moi que d'associer le bec au colibri, car l'existence même de mes activités apicoles et agricoles découlent de mon affection pour la légende du colibri et m'ont donné l'envie de le représenter sur chacun de mes produits.

Si vous ne la connaissez pas encore...

Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : "Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! "

Et le colibri lui répondit : "Je le sais, mais je fais ma part."

À atteindre le palier 1 pour :

• 10 essaims à environ 150€/essaim soit 1 500€
• 10 ruches complétes, avec 1 hausse chacune pour le "stock" de miel à récolter, les cadres et la cire, à environ 150€/ruche soit 1 500€

TOTAL : 3 000€, ce serait formidable !

 

Compléter par le palier 2 à 1 892€ pour le matériel d'extraction dont :

• Un couteau à désoperculer, pour enlever la couche de cire qui ferme les alvéoles pleines de miel, 20€
• Un bac à désoperculer en inox, plan de travail qui permet comme son nom l'indique de désoperculer les cadres et récupérer la cire qui sera débarassée du miel pour ensuite être réutilisée (en bio cette cire produite par les abeilles est essentielle) 410€
• Un extracteur à moteur, permet d'extraire le miel de plusieurs cadres (préalablement désoperculés) en même temps grâce à la force centrifuge, environ 1 000€
• Un double tamis, pour filtrer le miel sortant de l'extracteur, 20€
• 3 seaux alimentaires pour récupérer le miel sous l'extracteur, 24€
• Un support égouttoir en inox pour déverser le miel des seaux dans un maturateur, 18€
• 2 maturateurs en inox de 100 kg, permettent le stockage du miel avant sa mise en pot, 400€

TOTAL : 4 892€ ce serait fan-tas-tique !!

 

Assurer une belle récolte grâce au palier 3 de 890€ pour :

• 10 hausses supplémentaires avec cadres et cire, (pour espérer une plus belle récolte !) pour environ 250€
• Le "petit" matériel complémentaire pour les 10 ruches mais qui peut vite faire monter la note (entrées, nourisseurs,...) 640 €

TOTAL : 5 782€, INCROYABLE !!!

 

Au palier 4, la cerise sur le sundae comme on dit au Québec, ce serait pour :

• 1 ruchette d"observation vitrée, pour partager ma passion et faire observer les abeilles à des enfants comme aux plus grands, environ 80€
• 1 trappe à pollen, pour prélever un peu de pollen à l'entrée des abeilles dans la ruche, environ 30€

TOTAL  : 5 892 € un GROS "WAHOU" ! Ce serait extraordinaire !!!!

 

L'ultime palier 5, pour 471€  soit 8% HT du montant total  de la collecte pour :

• couvrir la commission de MIIMOSA qui permet de faire cette campagne en m'accompagnant tout du long et de m'avoir fait connaître auprés de vous

TOTAL : 6 363 €  !!!!!!!!!!

"Pour réaliser une chose vraiment extraordinaire, commencez par la rêver.Ensuite, réveillez-vous calmement et allez d'un trait jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager."  Walt Disney

Et si cela allait au delà :

• Un joie immense
• Une profonde gratitude
• Le sentiment d'être parfaitement soutenue dans ce projet
• La possibilité d'aller encore plus de l'avant...

  

Abeille sur fleurs de lierre et abeille sur fleur de thym.

 

Les montants indiqués correspondent à du matériel neuf, de moyenne à bonne gamme. Mon penchant pour l'écologie et le zéro déchet, m'oriente la plupart du temps vers du matériel de bonne qualité d'occasion et me permettant de faire des économies pour d'autres investissements.

Pour celles et ceux qui ne souhaitent pas faire de don par internet, il est possible de m'adresser votre don par chèque à l'adresse suivante :

Audrey MAQUE
Route du Maine, Combe de Rieux, La Tannerie
24200 SARLAT LA CANÉDA

N'oubliez pas de joindre vos adresse mail et adresse postale, vous recevrez votre contrepartie tout comme les personnes ayant contibué via MIIMOSA.

Un grand merci à vous toutes et tous pour votre soutien et votre aide !

Audrey et ses abeilles adorées

 

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