Bienvenue chez Jadis, pain au levain. 

Une boulangerie Bio au coeur du quartier historique de la Croix-Rousse à Lyon. Ce projet est né d'une idée simple : faire redécouvrir le bon pain d'autrefois aux populations d'aujourd'hui et de demain. 
   
Des populations sensibles à ce qu’elles mangent (désir de transparence sur la provenance et la fabrication), des populations sensibles à ce qu’elles achètent (besoin de sens avec une consommation plus responsable), des populations sensibles à ce qu’elles partagent (envie de rassembler dans ce lieu, les Acteurs de demain).

Pour tenir ces promesses, Jadis repose sur la vision et les épaules d'une seule personne : Raphaël (qui n'est autre que moi ^^...).

Qui suis-je ?
Raphaël Azoulay, 34 ans, natif de Lyon. 
Marié et papa de 2 garçons plein d'énergie. 

Quel est mon parcours ?
Ma passion pour le dessin m’a conduit à ma première expérience professionnelle : le design.
Mais, mon goût pour la bonne cuisine me rattrape et m'amène à réfléchir vers un projet autour du "bien manger, le manger sain".

Pourquoi ce choix de faire du [bon] pain ?
Le pain, c'est ce produit de consommation de base, qui nourrit toutes les populations. Cette approche universelle est très liée à la vision que j'ai du design, un design pour tous, généreux et créatif. 
Beaucoup parlerons de reconversion professionnelle, là où je perçois simplement une extension de mon premier métier. Cette volonté de mettre en valeur le travail de l'artisan, de fabriquer un produit de qualité, avec un outil (le levain) qui permet au produit (le pain) de voir le jour et de provoquer des émotions.

 Quelle formation pour démarrer ce beau projet ?
Il existe très peu de formations qui reviennent à la fabrication artisanale du pain au levain. Celle où j'ai eu la chance d'être formée, existe depuis 15 ans et a fait naître près de 200 boulangers et entrepreneurs, partageant tous la même vision : faire redécouvrir le bon pain d'autrefois. Après 4 mois de formation, 6 stages dans 6 boulangeries différentes [mais semblables en terme de valeurs], et un diplôme d'Artisan Boulanger Bio, me voilà prêt à me lancer dans la création de ma boulangerie.

Merci à l'Ecole Internationale de Boulangerie pour tout leur apport...

Et après ?
Après avoir trouvé le local, signé le bail commercial, créé le cadre juridique de ma société, rencontré les banques et avoir convaincu deux d'entre elles, constitué mon équipe de 3 personnes passionnées par le projet, il me restait à vendre notre maison pour se procurer notre apport. Ça a été chose faite il y a tout juste un mois, ce qui a enclenché le lancement des travaux.

A moins d'un mois de l'ouverture de la boulangerie, les travaux s'accélèrent et les premières machines commencent à être installées. Un investissement de 150 000 € a été nécessaire pour la constitution de mon matériel professionnel, indispensable pour produire du pain au levain (chambre de fermentation, four électrique, pétrin mécanique, batteur, doseur et refroidisseur d'eau).

Et pourtant, une machine manque à l'appel : la trancheuse à pain.

Si j'ai décidé de ne pas l'intégrer à mon plan de financement, c'est pour vous donner la possibilité de poser cette dernière pierre à l'édifice. 
Que vous soyez les embassadeurs de Jadis en relayant la campagne de financement à tout votre entourage (famille, amis, voisins, collègues,...) en décrivant un proche, un ami, un ancien collègue, un ancien étudiant ou un simple inconnu qui a eu ce grain de folie d'ouvrir sa boulangerie.

Concrètement, l'objectif à atteindre c'est d'acquérir une trancheuse pour sa fonction première, celle de trancher le pain. 
Cependant, dans une campagne de financement, on ne peut pas prévoir à l'avance le montant récolté. C'est pourquoi, 3 paliers sont proposés, avec la seule nécessité d'atteindre 60% du premier palier, sans quoi cet argent vous sera restitué, et Jadis pourra dire Adios à sa trancheuse.

Pour que cela n'arrive pas, on compte sur vous pour atteindre le premier palier de 3500 €. 
A ce prix-là, Jadis pourra s'offrir les services de la marque JAC, avec la pico 450 (lien). Ce modèle permettra de proposer à nos clients de leur trancher le pain. Trancheuse "manuelle" qui sera utilisée uniquement par nos soins, et nécéssitera un peu de dextérité.

Le deuxième palier à atteindre est de 7000 €. 
En finançant cette somme, vous nous offrez la possibilité d'utiliser une trancheuse à pain améliorée qui sera accessible en libre service, donc concrétement plus de temps pour servir nos clients. Rassurez-vous, la première fois, nous vous expliquerons le mode d'emploi de cette belle machine, qui répond au doux nom de JAC SELF 450 (lien). Petit plus également, elle intègre des roulettes et un récupérateur de miettes, qui lui vallent l'avantage d'être posé à même le sol, et non plus sur le comptoir.
 

Le troisième palier à atteindre est de 10 500 €. 
Et là concrètement, on a à faire à une machine professionnelle dernière génération : la  JAC Varia Self 800 (lien). Les gros avantages de cette trancheuse sont le type de découpe (lame circulaire idéal pour les gros pains), sa simplicité d'usage (interface tactile et découpe automatisée), son niveau de précision (jusqu'à 3 tailles différentes de tranches de pain), sa sécurité (avec le blocage de la vitre lors de l'utilisation de la lame). Elle sera accessible en libre service et ce sera un vrai gain de temps pour les clients et pour nous.

Donc pour résumer, 3 paliers pour 3 trancheuses à pain. 
Une seule suffira pour faire notre bonheur et celui de nos clients.

Alors un grand MERCI pour votre soutien. Que ce soit par vos dons, vos contreparties ou par vos moyens de communications, soutenir ce projet, sera avant tout l'occasion de se rencontrer, d'échanger et de partager autour d'un produit sain et fédérateur, j'ai nommé le pain.