Une toute première serre pour le champ de la Petite Bêche

La Petite Bêche – Légumes & Aromates - c'est un projet d'horticulture naturelle et local développer par Sali, maraîchère au Champ de la Petite Bêche à Braine Le Comte.

Elle y cultive des légumes frais, divers et variés, et de saison. Cultivés de manière biologique, et selon les principes de l'agroécologie et du compagnonnage.

Là où la terre et l’homme se donne le temps de s’apprivoiser, de pousser...

Ceux-ci s’inviteront volontiers à la table du bien mangé. Pour un bel appétit et une bonne santé en perspective ! Envie de Soutenir Sali pour que ce projet continu à se développer selon les règle de la durabilité ! Alors rejoignez - moi sur le champ de la Petite Bêche !

 

Quand tout a commencé..

A la recherche d'un terrain, j'ai eu vent d'un appel à projet, lancé par 3 amis qui cherchaient des maraichers et depuis mars dernier, j’ai eu la possibilité d’exploiter cette terre agricole situé dans la région de Braine le Comte. J’ai choisi d’exploiter une surface d’environ 35 ares sur 50 ares qui me sont réservés.  Depuis un contrat d’occupation a été dessiné pour les 6 prochaines années. C’est ainsi que La Petite Bêche est née !

Cultiver, associer et partager, le goût d’une bonne alimentation

La petite Bêche, c’est un projet de maraîchage en agroécologie, d’expérimentation et d’amélioration permanente sur 35 ares ; j’ai développé l’activité de maraîchage, en m’inspirant des techniques de l’agriculture biologique, de la permaculture, et du compagnonnage afin de produire des légumes d’une bonne qualité., riche de goût et de valeur nutritive.

 Je cultive selon les principes d’une agriculture naturelle avec des semences non traitées, et des plants biologiques dans le respect de l'environnement et de la terre, j'utilise en grande partie la technique du paillage et j'inclue énormement de fleurs mélifères, ainsi que des plantes aromatiques pour aider à la polénisation des différentes cultures telles que les curcubitacés, les solanacés ; sans pesticides ni engrais de synthèse, avec une moindre mécanisation, et oui tout ce fait à la main ici ;)

La première année demande beaucoup d’investissement logistique.

J’ai donc commencé par installer des cuves à eau, je récupère l’eau de pluie mais cela ne sera pas suffisant au vu des sècheresses constatées cet été (l’état de sècheresse a été constaté jusqu’en septembre cette année), heureusement un ancien puit juche le terrain, et son eau sera bientôt analysée.

Les petits fruits ont été transplantés en bordure de terrain pour casser les assauts du vent. Les associations diversifiées ont pointées leur nez à la mi-mai. Les courgettes ont été paillées, les tomates et les aubergines, poivrons sont enfin installés et auraient bien besoin d’être protégés du vent et des UV. Les mois de juillet et aout furent difficiles pour ces cultures, canicules et temps orageux ne leur ont pas profités et pour pouvoir protéger toute cette jolie diversité, il faudrait installer une serre ainsi que l’irriguer.

Bien que la culture de plein champ soit un challenge permanant, en juin, les premières récoltes arrivent, et les premières livraisons s’organisent. Une petite épicerie de primeur bruxelloise, qui promouvoie le local et la diversité, un restaurant Ixellois bien ancré et depuis, deux autres restaurants, qui travaillent sans cartes fixes mais au grés des saisons, me soutiennent et des nouveaux clients, particulier et traiteurs attendent leurs futurs paniers.

Pour pouvoir m’aider à continuer sur cette lancée, il ne manque plus que vous, c’est pour cela que je me tourne vers vous pour un petit coup de pouce !

 

Cette campagne de don me permettra de financer le matériel d'irrigation nécessaire pour faire pousser tout ce petit monde de légumes dans ma premiere serre maraichère. 

A quoi va servir l'argent des dons ?

Travaillant principalement de manière manuelle, et en plein champ, le plus gros poste est celui de l'achat d'une serre, et de faire les aménagements nécessaires à son irrigation pour la saison prochaine qui débutera fin janvier début février.

La serre me permettra de produire en début de saison, mais surtout d’y placer tout ce qui aime la chaleur : poivrons, concombres, aubergines, melons, pastèques... La serre sera utile après la pause hivernale, de produire en début de saison et même pour l’hiver prochain : la culture de la mâche, pourpier, épinard, salade...

Mais qui dit serre.. dit irrigation, l’achat d’une pompe d’amorçage, connectée au puit, qui se trouve par chance sur le terrain. Et l’installation de kilomètres de tuyaux goutte à goutte, sont inévitables.

1. Un système d'irrigation efficace :

• Pompe et divers tuyaux et raccords : 1000 euros
• Arrosage par goutte à goutte pour les cultures d’été : 450 euros
• Arrosage par aspersion pour les cultures d’hiver : 1000 euros

2. Un système de récupération des eaux de pluie :

• Placement des gouttières sur la serre : 450 euros
• Raccordement aux cuves de stockage : 200 euros
• Achat de cuve de stockage : 5x 80 euros pièce

 

Le reste de la somme sera consacrée à l'achat de matériel pour planter et semer les cultures diverses :

• Un semoir manuel : 400 euros avec tous les disques et accessoire liés à l’outil

• Un plantoir manuel : 600 euros

• Divers outils à la main de préparation du terrain : grelinette, herse manuel, plantoir à poireaux, presse mottes

Avec ces deux postes, l'objectif sera atteint et tout ce petit monde nous le rendra bien

Et si le but est dépassé ? L'argent récolté permettra d'acheter un peu plus de matériel tel qu'une houe maraichère Ou encore pour financer l’achat de fruitier basse et haute tige et intégrer l’agro-foresterie au champ. Bref, plein de possibilités !

 

Sali & la Petite Bêche, vous remercie et vous sont reconnaissant de toute l'aide que vous lui apporterez!

A Tout Vite !