Embellir mon rucher de quelques ruches supplémentaires

Je m'appelle Dominique HUBERT, chiropracteur depuis presque 20 ans. Amoureux du bocage normand et mon intérêt pour les abeilles grandissant, je souhaite continuer à évoluer pour pouvoir vendre mon miel.

Un jour en 2015, un essaim d'abeilles s'est posé et installé dans le pignon de la maison. Ne sachant pas trop quoi faire, j'ai contacté un apiculteur amateur de l'Union Apicole Ornaise qui est gentiment venu pour le récupérer, mais rien n'y a fait, et nous avons du faire avec.

La cohabitation se passant bien, ma curiosité et mon intérêt pour les abeilles grandissant, en 2016, je décidais d'acquérir une ruche. L'essaim fut offert par un apiculteur amateur de 80 ans dit "tonton Raymond " et pour apprendre, je me suis inscrit aux cours d'apiculture de l'Union Apicole Ornaise (UAO).

En 2017, le cheptel passe à neuf ruches et mes premiers pots de miel sont remplis.

Surpris par le résultat et le plaisir de ceux qui ont pu goûter le miel, l'idée d'augmenter mon cheptel ne tarda pas longtemps à faire son tour !

Début 2018, j'ai fais l'acquisition d'un champ avec quatre poneys agés de 25 ans qui y vivent paisiblement leur retraite. Aucune haie n'a été arachée lors du remembrement dans les années 80.

  

Aucun pesticide n'a été utilisé. Le champ est resté dans son jus et au mois de mai il est envahi par les paquerettes. Les vers de terre abondent et en septembre, les hirondelles le survolent en nombre pour manger un maximun d'insectes avant leur départ. L'entretien se fait grâce au paturage des poneys et un broyage mécanique des refus. Dans un univers ou se mêlent chataîgniers, chênes, houx, merisier, pommier, aulnes, ronces, paquerettes etc... 

De plus pour améliorer la biodiversité du champ, un hersage et un semis de sainfoin à la volée (à l'ancienne) sont envisagés. Aude LANGOUET devrait faire le travail en traction animale avec ses ânes normands.

Le sainfoin est une légumineuse ancienne remplacée par la luzerne et sa qualité mellifère, sa résistance à la sécheresse, son rôle antiparasitaire, son côté peu méthanisant et sa fonction d'engrais vert lui donnent pleinement sa place dans ce projet.

Les abeilles font partie d'un projet global qui vise à concilier écologie et économie afin de valoriser et préserver un patrimoine environemental typique de notre bocage du parc Normandie Maine.

Je compte augmenter mon cheptel régulièrement, produire un miel de terroir, artisanal et vendre mon miel en circuit court.

La collecte servira à participer au financement des ruches.

Un apiculteur de 77 ans désireux de prendre sa retraite m'a proposé 6 ruches peuplées d'abeilles locales au prix de 160€ chacune, soit 960€, auxquels se rajoutent 8% de frais de service MiiMOSA, soit 1050€ au total.

Si cette aventure écolo vous tente, soyez persuadés que votre investissement sera récompensé par du trés bon miel (forcément !).

Vous pouvez faire vos dons soit directement sur le compte MiiMOSA attribué à cet effet, mais également par chèque, et la somme correspondante sera reversée sur la plateforme de financement participatif pour que vous puissiez recevoir vos contreparties en remerciement de votre soutien.

Voici mon adresse :

Dominique HUBERT

La Corbinière

61 220 La Coulonche

(pensez à me communiquer vos nom et adresse mail)

Je remercie chaleureusement tous ceux qui participeront !