Parrainez votre lieu de détente au coeur des vergers

Qui sommes-nous ?

Samuel, après 10 années de salariat sur l’exploitation agricole familiale, a décidé de prendre la suite en étant la 4e génération sur le site de La Rouérie à Gennes-Longuefuye. Il s’est installé dans l’entreprise de 22.90 ha en 2011 avec une production arboricole en pommes à cidre. 
Situés dans le Sud Mayenne, au Pays de Château-Gontier, les vergers de la Rouérie s’étendent sur 15 hectares de vergers avec des variétés locales, type Bedan, Fréquin Rouge, Damelot,…
Samuel a à cœur de mettre en œuvre les savoir faire transmis par ses parents pour produire un cidre de qualité.

Mélanie, l’épouse de Samuel, après une carrière de 15 ans en tant que comptable et conseiller en exploitation agricole, a fait le choix de rejoindre Samuel sur l’exploitation le 1er février 2023.
Ce nouveau choix de vie, permet le développement de l’exploitation et l’arrivée de nouvelles activités comme le gîte et l’élevage des volailles.
Dans la continuité de nos convictions, nous avons souhaité convertir l’intégralité de l’exploitation vers l’Agriculture Biologique en mai 2020.

Notre gamme de produits cidricoles actuelle

Du verger à la cave, nous avons eu à cœur de mettre tout notre savoir-faire pour élaborer notre gamme de produits cidricoles.
A chaque étape de transformation de la pomme, nous réfléchissons et expérimentons, pour mettre dans nos bouteilles le meilleur.

Notre objectif est que nos produits subliment vos tables et mettent en émoi vos papilles.
Une grande partie de notre gamme est en conversion vers l'agriculture biologique.

Notre Projet

Avant tout notre projet est un projet de vie permettant de concrétiser la reconversion professionnelle de Mélanie mais aussi de pouvoir harmoniser notre temps entre l'exploitation et nos trois enfants. 

Un élevage dans les vergers, mais pourquoi ?

L’Agro-pastoralisme : introduire des volailles dans les vergers

Dès que nous avons pris la décision de convertir nos vergers vers l’Agriculture Biologique, il nous est apparu nécessaire de coupler cela avec la mise en place d’un élevage permettant d’accentuer notre conversion. Notre choix s’est porté sur un élevage de poulets de chair nous permettant de répondre à des objectifs multiples.

• Réguler la pression en ravageur

Les volailles grattent le sol et se nourrissent d’insectes hivernant dans le sol de manière non sélective. Elles viennent picorer les insectes nuisibles pour nos vergers comme le carpocapse, l’hoplocampe, avec pour objectif d’année en année de limiter la pression parasitaire.

• Fertiliser

Les fientes de poulets sont très riches en azote rapidement disponible et mobilisable pour le pommier. Cela nous permet de diminuer les apports venant de l’extérieur.

• Gérer l’enherbement

Avec la conversion vers le bio, les vergers sont en train de s’enherber intégralement. Le seul moyen de gérer l’herbe au pieds des pommiers est d’avoir un équipement spécial, ce qui n’était pas notre choix. C’est pourquoi les poulets auront toujours de l’herbe fraîche à picorer grâce à un système de poulailler mobile.

Notre Futur Elevage

Les poussins arrivent à J1 sur notre exploitation. Le poulailler est aménagé en poussinière pour les 5 premières semaines de leurs vies avec un température de 32°C, un lit douillet de paille, un aliment démarrage bio en farine et de l’eau fraîche. L’objectif est de les accompagner dans la première phase de leur croissance pour qu’ils développent leur structure musculaire et le plumage.

A partir de 6 semaines, changement de décor. Le poulailler mobile est placé au cœur des vergers et les poulets ont atteint l’âge de leur première sortie. Ils peuvent donc gambader à leur guise entre les pommiers, picorer de l’herbe fraîche et des insectes. L’aliment bio change et s’adapte à leur croissance. Ils ont bien sur accès à l’intérieur du poulailler comme ils le souhaitent.

Durant les 9 semaines qu’ils leur restent à passer sur notre exploitation avant l’abattage, le poulailler sera déplacé environ toutes les 3 semaines pour que les poulets picorent un maximum de surface. Les poulets sont ensuite vendu en vente directe sur la ferme en poulets prêt à cuire.

Le deuxième projet : un gîte à la ferme

En faisant le choix de m'installer sur l'exploitation avec Samuel, mon mari, des questions me viennent : comment gérer la "solitude" du travail à la ferme ? Vais-je pouvoir me créer du contact au quotidien comme j'avais dans mon travail avant ?

La solution me vient alors rapidement : mettre en place de l'hébergement à la ferme sous la forme d'une petite maison en bois déplaçable donc peu d'impact sur l'environnement, nichée au cœur des vergers. L'idée est d'offrir au client un endroit confortable d'environ 20m2 à l'intérieur de la tiny et une belle terrasse de 18m2 au milieu de la nature.

L'idée : besoin de se mettre au vert, redécouvrir la Mayenne, besoin de détente, se faire un séjour en famille ou entre amis... proposer des séjours dans notre gîte qui pourra héberger 7 personnes. 

Les offres de séjour que je souhaite mettre en place :
- la location de gîte classique.
- différentes activités en lien avec la ferme: visite de l'exploitation, soirée dégustation de produits cidricoles, goûter "fait maison" au cœur du verger, jeu de piste dans les vergers ou encore panier repas 100% Mayennais.
- un séjour participatif, le principe : une découverte participative du milieu agricole sur la moitié du temps de votre séjour. Chaque matinée de votre séjour vous aurez le choix de prendre part à un des ateliers suivants :

• aller nourrir et s'occuper des volailles et visiter notre exploitation cidricole,
• une soirée dégustation des produits cidricoles de la ferme,
• assister à la traite des chèvres et à l'alimentation ou la même chose avec des vaches,
• partir à la découverte d'un élevage de moutons avec des activités dans les champs,
• participer à un atelier de poterie,
• apprendre à fabriquer son pain, nourrir et soigner les animaux d'une ferme pédagogique.

Pour cela des partenariats seront créés avec des exploitations voisines.

Vous vous en doutez un tel projet nécessite des investissements : un poulailler mobile, des clôtures électriques déplaçables, la tiny house et ses aménagements. L'ensemble représente un investissement global de 80 000 €.
 

Si ce projet vous plaît et que vous souhaitez le soutenir, nous lançons une campagne de financement participatif, pour que nos nouvelles activités puissent voir le jour et s’épanouissent grâce à un coup de pouce de la communauté. Appel à la famille, aux copains, aux passionnés, aux amateurs de bon cidre, on a besoin de vous ! Vous serez bien évidemment récompensés en séjournant dans la tiny pour les plus généreux et en produits cidricoles pour tous les autres. 

Pour mener à bien ce projet, nous faisons appel à votre générosité pour  :

un premier palier de 5 000 € : 
                        - 3 000 € pour l'acquisition du poulailler mobile de 30m2
                        - 2 000 € pour le système de clôtures électrifiées

un second palier de 5 000 € : 
                        - pour la construction de la tiny house

Nous remercions d'avance toutes les personnes, familles/ami.es/connaissances et inconnu.es. Sans cet élan, ce projet pourrait difficilement voir le jour, car tout est à construire, encore mille fois mercis !